Re: Bifur - cherchez plus !

[Alain Hurtig <alain.hurtig@xxxxxx>]

At 0:32 +0200 5/05/97, Olivier RANDIER wrote:
>Pour éviter du travail à Alain, qui a besoin de dormir un peu ;),
>
Oh, de dormir, mais aussi d'écrire les machins « militants » que j'ai
promis depuis 15 jours, d'écrire aux copains qui doivent penser que je suis
un salaud de ne pas leur répondre, de contribuer à la liste cuisine-fr, et
accessoirement de monter ce fichu catalogue de 64 pages de pub dont les
scans basse-déf' me parviendront un jour si le photographe a le temps de
faire ses photos (sans parler des quelques 1 500 pages de livres qui sont
en correction chez les auteurs, et qui vont m'arriver un jour sans
prévenir, et qu'il faudra finir la veille comme d'habitude, vu qu'on est en
retard maintenant et que l'éditeur est pressé !)

>Agfa
>propose une version du Bifur, dans le pack Typographers Edition 12, et sous
>le nom de Matra (Donc ils n'ont pas payé les droits, j'imagine).
>
Des pirates !

>Malheureusement, ils n'ont digitalisé que la version "ornée" (celle avec
>les filets en fond). Cassandre accordait, je crois, plus d'attention à la
>version simplifiée, présentée comme futuriste, à l'époque.
>
Des pirates qui ne finissent pas le boulot !!! (mais « futuriste » est le
terme qui s'impose : c'est très inspiré du futurisme russe).

>En tout état de cause, il est très facile d'extrapoler la seconde de la
>première : il suffit de supprimer les filets. [etc.]
>
>En fait la version bichro du Bifur, mais aussi de l'Acier (qui lui,
>n'existe pas en version digitalisé, à ma connaissance) fait déjà partie de
>mes projets.
>
Bon, te fatigue pas, je vais le faire. Quand j'aurai fini _mon_ Bifur, la
version bichro me prendra une demi-journée au maximum.

>Autant que je sache, la fonderie Deberny & Peignot n'existe plus. Par
>contre, il reste au moins un héritier, Jérôme Peignot, qui fut mon
>professeur. J'ignore son statut par rapport à l'héritage de la fonderie.
>Quant aux héritiers de Cassandre, je ne sais pas.
>
J'ai écrit ce matin à J. Peignot (car je suis, je me cite, soucieux de « ne
pas léser les droits moraux et financiers » des éventuels ayant-droits).
J'attends donc sa réponse.

Alain Hurtig         alain.hurtig@xxxxxx
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« Quand on n'a plus rien à désirer, tout est à craindre ; c'est une
félicité malheureuse. La crainte commence où finit le désir. »
   Baltasar Gracian, L'homme de cour.