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Message : Re: Question naives (Jacques Andre) - Jeudi 18 Février 1999 |
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Subject: | Re: Question naives |
Date: | Thu, 18 Feb 1999 13:55:48 +0100 |
From: | Jacques Andre <Jacques.Andre@xxxxxxxx> |
Olivier RANDIER wrote: > > Le principe est de ne pas perturber la prononciation par la coupe : > Dans le cas de c'est-à-dire, le « c'est » vit bien à la fin de sa ligne, et > le trait d'union suffit à prévoir la suite et à anticiper le t euphonique : > c'est'... à-dire > > Alors que « c'est-à » en suspens fera bizarre : cetàh... dire. > Le _Guide du typographe romand_ précise bien: « dans les verbes à la troisièpe personne comportant le t euphonique, on sépare avant cette lettre et non apr_ès : aime-/t-il finira-/t-on [etc.]. A noter que la locution conjonctive c'est-à-dire se divise c'est-/à-dire pour éviter la trop grande proximité des deux traits d'union. » Je suis d'accord car je trouve les coupures classiques « c'est-à-/dire » particulièrement moches ! -- Jacques André Irisa/Inria-Rennes, Campus de Beaulieu, F-35042 Rennes Cedex, France Tél. : +33 2 99 84 73 50, fax : +33 2 99 84 71 71, email : jandre@xxxxxxxx
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- Question naives, Eric DETREZ (16/02/1999)
- Re: Question naives, Olivier RANDIER (17/02/1999)
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