Re: points de suspension

[Jacques Melot <jacques.melot@xxxxxxxxx>]

 Le 15/11/01, à 21:20 +0100, nous recevions de Paul Pichaureau :

>  > Chap. 1, § 3, n° 4, p. 31 :
> >  A1 et (A2 et . . . et Ah)
> >
> >  A1, A2, . . . , Ah
> >
> >      Il s'agit ici de points manifestement éloignés par au moins un
> >  demi-cadratin.
>
>   Ah ? Et c'est joli ?



   Je répondrais comme le général Giap, il y a peu, lorsqu'un ancien 
français ayant fait l'Indochine, vous savez la personne un peu 
débonnaire à la voix grasseyante et au ton paternaliste, au demeurant 
ce genre de type vaguement inquiétant, fleurant l'adepte de la 
torture, s'adressait à lui dans sa maison de campagne en tentant avec 
insistance de lui soutirer l'aveu que les Français étaient de bons 
soldats (« Allez, dites le mon général ! Allez, dites le, qu'ils 
étaient de bons soldats ! ») : (après plusieurs secondes 
d'hésitation, peut-être une dizaine) Ils faisaient leur devoir de 
soldat.

   Soit, mutatis mutandis : C'est homogène avec le reste.



>  >     Dans le n° 4 de l'appendice au chap. 1, on trouve :
> >  1 + l(A1) + . . . + l(Ap)
> >
> >      où, tenez-vous bien, les trois points, non contents d'être
> >  « éloignés », sont des points... centrés (et qui donc sont dans le
> >  prolongement exact de la barre horizontale du +).
>
>   Ça par contre c'est assez fréquent...



   Tiens donc ! J'aurais appris quelque chose à cette occasion alors.

   Jacques Melot



>  >
> >      Jacques Melot
>
>                 Paul