Re: [typo] Césure malencontreuse

[laurent <laurent.tournier@xxxxxxx>]

Je crois que tout le monde s'accorde pour éviter une coupure malvenue. 
Le problème soulevé ici n'est-il pas celui d'une coupure à cheval sur 
deux pages ?
L. Tournier

GilouB4 a écrit :
> Se montrer soucieux du confort de lecture serait-il faire preuve 
> d'intolérance ?
>
> Sans me prétendre expert, je préfère éviter les coupes du genre :
>
> Au grand désespoir de sa femme, il collectionnait les maîtres-
>
> ses. (...)
>
> Gil
>
> Le 21 juin 07 à 13:07, Jacques André a écrit :
>
> > Le 21 juin 2007, à 12:47, Jean-Luc BLARY a écrit :
> > >  GilouB4 a écrit :Bonjour,
> > > >  Existe-t-il un terme pour désigner un mot se retrouvant à cheval 
> > > > sur deux pages à la suite d'une césure malvenue ?
> >
> > > « faute de typo »
> > >
> > >  Non ?
> >
> > Si. À condition d'avoir l'intolérance des gens qui se disent experts 
> > en  typo-pao d'aujourd'hui.
> > Car ce qui est faute aujourd'hui pouvait ne pas l'être au siècle 
> > dernier, voire plus tôt.
> > Frey (qu'on ne peut pas vraiment considérer comme un mauvais 
> > typographe) utilise souvent des divisions en fin de page, et même 
> > dans son Manuel complet de typographie (1857) (pages 91/92) la 
> > division con/traire... Je ne parle pas des gens comme Fournier chez 
> > qui cela     est chose courante.
> >
> > Même aujourd'hui, on peut quand même tolérer une division en bas de 
> > page impaire.
> > --
> > Jacques ANDRÉ