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Message : RE: [typo] oubli doc en question (Jef Tombeur) - Mercredi 25 Septembre 2013 |
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Subject: | RE: [typo] oubli doc en question |
Date: | Wed, 25 Sep 2013 12:43:58 +0200 |
From: | Jef Tombeur <jtombeur@xxxxxxxxxxx> |
Buchelay (Yvelines) n’est pas trop mal desservie par l’autrte (autoroute, c’était juste un essai abrev. au passage, plutôt raté) de Normandie. Mais ce qui me chagrine c’est ce « L’iMPRIMERIE NATIONALE » (enfin, l’impr. nat.) du haut du verso. On ne va pas revenir sur la N cap. de « nationale » que « veut » le logotype, mais cette i bdc, c’est… insolite. Je ne comprends pas non plus vraiment l’utilité des guilles entourant « lexique des règles typographiques », mais j’admets. Jamais je n’aurais laissé passer : Création de caractères et caractères (plutôt, pour des raisons d’approche inter-mots : Création de caractères Encore que… Caractères occidentaux & orientaux, si cela tenait sur une seule ligne, aurait été préférable, avec ensuite « Création de caractères illustrée par des calques (…) modèles de casses de caractères européens et orientaux »). Enfin, quand je dis jamais, vers la soixante-dixième heure (sur 72) de travail non-stop pour boucler et rédaction et mise en pages et validation, allez savoir… Mon précédent record était de 48 heures sans dormir (mais rapides pauses au-dehors pour fumer hors de la fumée accumulée). C’était « le bon temps » (d’avant, mais naguère quand même). À cette heure, ce ne peut être déjà l’alcool, mais j’ai l’impression que la justification verticale et le respect du registre ne sont pas tip-top. Cela étant, je peux m’illusionner (sur l’interlignage entre Monotype et Composition). Question rédaction… Pourquoi le point après « marbré » ? Pas cohérent. Marie-Anne Hamaide emploie le trait d’union sur son site. Pourquoi ce « Marie Anne » ? Au fait, allez voir : https://www.youtube.com/watch?v=dMnCKziWV_E Il y a 14 routeS de Mantes ? Trois et non 3 ans. Cela étant, je méronne, je méronne (les ancien·ne·s de cette liste comprendront), mais pour le « prix du roman jeunesse Papyrus », je ne sais plus trop pour « prix » (P ou p ?). Pas envie de me plonger dans le Lexique, les Guéry (et alii), et ma coll. des Ramat… * Genre : le trophée Papyrus (littérature pour la jeunesse). Écrit et non Ecrit, bien sûr. Ouh là-la-la : l’approche entre 0 et 1 au final. Franchement, non mais, allô, allô, vous me recevez ? Mais, là, je trouve que cela pousse un peu loin. L’ami Paput ne s’en fâchera pas durablement, et c’est pourquoi je m’autorise ces remarques publiques. Il y a des trucs sur lesquels on peut chipoter sans fin (par ex., j’admets que « Livres de bibliophilie » soit aligné sur le bas de l’encadré qui jouxte cette entrée et non sur sa dernière ligne, « cas durant la… »). Je conçois aussi qu’on admette ce « Elle » (pour association Signe & Image). &c. Aussi les points de suite à deux reprises (mais pourquoi donc ?). À la rigueur ce « du relieur » (et non « de la relieuse » alors qu’il s’agit soit de ses outils, soit d’outils de relieurs). Pas méchant bougre, au fond, espérai-je rester. Vais pas chipoter non plus sur l’approche entre l’apost. et le « un » de la dite anatomie (au verso, au recto, cela passe). Mais, au bout de cinq ans de chômage (ou plus, oublié, mais par chômage, entendez aussi fin de droits), à la veille de demander une retraite largement amputée par largement plus d’une demi-douzaine d’années d’études supérieures (et autres, post scolaires), j’estime que même en bénévole, en faisant cela quasi par-dessous (vx) ou par-dessus (mod.) la jambe, je n’en aurais pas tant accumulé. J’espère donc que ce n’est pas une ouvrière ou un ouvrier d’État qui a commis cela. Je sais, c’est quasiment du ressentiment à la Méron. C’est fort laid. Petit. Mesquin ! Voire grotesque, comme chez Th. Gautier. Le pudique ami Hurtig aura peut-être quelque indulgence… Quelques autres comprendront, voire admettront. J’encuistre le reste in petto (sens 2 du Grand Bob), et hypocritement lui présente mes excuses. En revanche, non, dans la mesure ou presque tout le monde peut consulter Google Maps ou je ne sais quoi, ne pas indiquer où est Buchelay, ne pas ménager quelque part mention de la proximité de Mantes-la-Jolie, &c., me semble moins crucial qu’auparavant. Cela étant, d’expérience, je peux imaginer que des personnes ayant emménagé récemment à, par ex., Méricourt (Yvelines, et non Pas-de-Calais), tout proche (ou toute proche, comme on voudra), et connaissant Mantes-la-Jolie, n’auraient peut-être pas cette curiosité. Je digresse… Sur deux autres listes, dédiées à la correction orthotyp. ou aux métiers de correctrice ou réviseur, &c., je trouve parfois des questions dont certaines réponses tombent « sous le sens », d’autres auxquelles une très courte recherche en ligne aurait suffi à solutionner. Je comprendrais s’il s’agissait de gens en surchauffe (voir, supra, les conditions de travail parfois dures, déboussolantes : quant on est en rush ou bouclage vraiment catilleux, on peut perdre la boule par manque de sommeil…). Souvent, ce n’est pas le cas, du tout, du tout. Enseignant le journalisme, en première année, j’ai été effaré par le manque crasse de curiosité d’étudiantes et étudiants. Par ailleurs, j’ai appris, au tout bas de l’échelle, à travailler « en conscience » (aux divers sens vx ou mod. de l’_expression_). Là, parfois, j’me dis, oh ben, « c’était mieux avant ». Non ? Ou alors, détrompez-moi… *Pour Alain H. : bien évidemment, je suis allé consulter orthotypographie.fr ; recherché ‘prix’, trouvé l’entrée « Maj. & min. », et la cit. de Tournier. Tu auras vu que j’évoque les Guéry. Alors que la somme lacroussienne ne se réfère qu’au Sec. de rédac’, il en est bien d’autres. Dans L’Abrégé, il est écrit : « tout claviste, tout rédacteur, tout secrétaire de rédaction, devrait donc avoir toujours à portée de la main, [sic pour cette gul. inutile, Ndlr.] et l’Abrégé, [Ndlr., là, ça s’discute…] et le Code. ». Le code (ou Code) d’avant celui du regretté Guibert, cela va de soi. Eh bien, tiens toi… Hormis les correcteurs bilingues de L’Alsace, formés en facultés et par les Jurassiens (du « romand »), chez les clavistes ou au mettage, à une époque bien avant de maintenant, quasi antan, foin de Code, encore moins d’Abrégé. Et tous ces gens (au masc., pas de typote ou de metteuse) n’ont compris pourquoi des journaleuses et journaleux ont fini par faire leur boulot. Anecdote : des clavistes équipés (masc.) d’ordinateurs, recevant une disquette, exigeant une sortie papier pour re-saisir, c’est du vécu. Sauf que la copie sur disquette était impec’, la sortie sur… – zut, oublié le terme, pour les bandes polymères qu’on encollait – comportait trois coquilles. Mais, déjà, les correcteurs n’avaient plus le temps de tout relire. Donc, tu devais y aller au « couteau » (cutter) pour tenter de remédier au moins un peu (faute de temps pour demander une nouvelle sortie). Tous ces gens ont négocié de royaux départs anticipés en retraite, bon débarras. Le pb. c’est que les journaleuses ou journaleux qui les remplacent ne travaillent plus guère en conscience. De : typographie-request@xxxxxxxxxxxxxxx [mailto:typographie-request@xxxxxxxxxxxxxxx] De la part de C. PAPUT le message précédent de rapportait au document joint. |
- [typo] oubli doc en question, C. PAPUT (25/09/2013)
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