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Message : Re: La mariee etait en noir (et elle etait enceinte)

(Alain Hurtig) - Lundi 12 Mai 1997
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Subject:    Re: La mariee etait en noir (et elle etait enceinte)
Date:    Mon, 12 May 1997 18:39:38 +0200
From:    Alain Hurtig <alain.hurtig@xxxxxx>

At 16:49 +0200 12/05/97, Gilles Perez wrote:
>   D'accord. Et je dirais même mieux : j'aimerais même qu'on arrête de
>chasser ces pauvres lignes isolées et qu'on se concentre sur autre chose
>dans la mise en page. Je n'aime pas trop avoir des fins de pages en
>accordéon tout simplement pour éviter ces « problèmes » (qui n'en sont pas
>pour moi).
>
C'est quoi, « accordéon » ? Quand on diminue ou augmente sauvagement
l'interlettrage pour faire remonter d'une ligne ? Il suffit de le faire en
finesse, pour que ça ne se voit pas trop... Parfois, il faut lutter,
revenir plusieurs pages en arrière, pour y parvenir.

>   La seule ligne isolée qui me pose quelquefois problème, c'est celle qui
>serait vraiment toute seule en haut de la page (hormis en-tête et
>pied-de-page).
>
Argh ! Ça, c'est vraiment l'horreur. Et puis, on se fait tirer les oreilles
par le client, qui déteste qu'on lui gâche du papier. Mais surtout c'est
très laid. Une page devrait toujours avoir au minimum cinq ou six lignes.

>Mais si on a une ligne « seule » suivi d'un nouveau
>paragraphe, la plupart du temps, ce n'est pas un problème.
>
Moi, j'aime pas. L'orpheline est supportable dans les cas extrêmes, mais je
suis pour flinguer (ou remarier) les veuves. Sauf mise en pages
bas-de-gamme, ça existe aussi, hélas !

At 16:23 +0200 12/05/97, Thierry Bouche wrote:
>la veuve a un passé mais pas d'avenir (peut-on être enceinte sans
>avenir ? alain doit avoir qch à dire là-dessus...)
>
J'ai toujours quelque chose à dire, moi... :-)

Alain Hurtig         alain.hurtig@xxxxxx
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« Quand on n'a plus rien à désirer, tout est à craindre ; c'est une
félicité malheureuse. La crainte commence où finit le désir. »
   Baltasar Gracian, L'homme de cour.