Re: [typo] ligne blanche

[Jacques Melot <jacques.melot@xxxxxxxxx>]

Title: Re: [typo] ligne blanche

 Le 2008-11-17, à 4:34 +0100, nous recevions de Alain Hurtig :

> At 9:41 +0100 16/11/08, Jean-Luc BLARY
> wrote:
> >Alain Hurtig a écrit :
> >> L'IN les préconise également dans ce genre de situation,
> en précisant
> >> que lorsque le passage d'un paragraphe à l'autre arrive en
> fin de
> >> page, le trio d'astérisque doit impérativement être
> placé au début de
> >> la page suivante. Et là, je me demande vraiment
> pourquoi.
> >En effet. Quand j'en ai un en limite de page, je m'efforce quand
> c'est
> >possible (mais, s'ajoutant aux veuves et aux orphelines, ce n'est
> pas
> >toujours possible) de le positionner plutôt en bas de page,
> emplacement
> >beaucoup plus logique. Et que l'IN
> aille se faire voir.

[J. M.]   ... pour deux fois ! (la première étant le coup de l'accentuation des capitales : l'esprit de l'ouvrage est d'indiquer ce que fait l'Imprimerie nationale, mais pas de normaliser ; les propos sur l'accentuation des capitales sont un ajout récent, et ce, dans un esprit normalisateur contraire à celui de l'ouvrage.)

   J. M.

P.-S. Tu veux une cul-de-lampé d'aquavit ?

> En y réfléchissant, c'est peut-être
> pour éviter la confusion avec un
> cul-de-lampe. Mais comme cette confusion semble tout de même peu
> probable,
> et qu'un astérisme en haut de page sera quand même pour le moins
> d'un effet
> bizarre, je suis d'accord : que l'IN aille se faire voir, pour
> une fois !
>
> >Chez Eons, je mets systématiquement le séparateur graphique
> dès qu'il y
> >a une rupture dans le récit (alors même que parfois l'auteur
> n'a mis
> >aucun repère, alors qu'on a un couac à la lecture). Ainsi la
> question ne
> >se pose pas.
> >
> Si c'est prévu dans la charte, tout va bien. C'est quand ça n'est
> pas prévu
> que ça gâte...
>
> >Et aucun auteur (près de 200 à ce jour) n'a jamais émis la
> moindre
> >objection à ces séparateurs.
> >
> bah, quand le contrat est signé, l'auteur n'a plus grand-chose à
> objecter
> sur ce qu'on fait de son texte. Et puis l'expérience commune est
> qu'en
> effet, il est ravi qu'on le lui peigne un peu et même parfois
> beaucoup, et
> qu'on le mette en forme.