C'est un petit peu différent, mais ça participe du même principe. Cohen (dont je ne connaissais pas les travaux) propose finalement une solution de simplification de la graphie pour les Nouvelles Impressions qui, rappelons-le, s'exprimait ainsi :
texte niveau 0 (niveau -1 ((niveau -2 (((niveau -3 ((((niveau -4 (((((niveau -5))))) fin niveau -4)))) fin niveau -3))) fin niveau -2)) fin niveau -1) suite texte niveau 0.
Il pourrait être, par ailleurs, intéressant de trouver des solutions typographiquement ingénieuses pour marquer les différences de niveau dans les textes enchâssés du type Mille et Une Nuits (Galland ou Mardrus)... par exemple (mais est-il bon ?) une typo qui maigrit (ou grossit) un peu plus à chaque niveau. Des outils contemporains permettent cela.
Bon, je retourne une fois de plus à mes petits bouts de plomb.
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Le 9 mars 2017 à 15:05, CLS <cls@xxxxxxxxx> a écrit :
L'idée, vous l'aurez toutes compris, est fille de celle utilisée par Raymond Roussel dans les Nouvelles Impressions d'Afrique, mais inversée et avec des chevrons au lieu de parenthèses.
C'est en gros ce que proposait, dans les années 1990, Michael Cohen avec ses « Zebrackets » lispiennes : https://tug.org/tug2016/slides/cohen.pdf
;-)
J.A.
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