Re: Photocomposeuse ?

[f.chartier@xxxxxxxxxxx (Francis CHARTIER)]

On Thu, 10 Apr 97 23:50:28 +0100, you wrote:

>Alain Hurtig wrote :
>
>> En imprimerie, la vraie revolution, comparable a l'invention des
>> caracteres mobiles en bois (revolution pour les metiers du livre
>> bien sur, pas socialement), c'est PostScript - bien plus que le
>> wisiwig par exemple.
>
>Mais PostScript est Wysiwyg ! PS a l'ecran et PS en sortie... sur les
>bon systemes :-)

Je n'en connais pas beaucoup sur micro, hormis NextStep, à gérer
Display PostScript.

>
>> Et les deux mis ensemble font des allies irresistibles : on oublie
>> trop souvent que du point de vue de l'interpreteur PostScript,
>> l'ordinateur du metteur en pages est un simple peripherique d'entree
>> (qui lui envoie du programme) et l'unite d'impression (laser, flasheuse)
>> est un simple peripherique de sortie.
>
>La difference avec la photocomposition est que le peripherique d'entree
>est separe du peripherique de sortie. Ainsi on peut intercaler un  
>programme d'imposition entre l'ordinateur et l'unite d'impression. On peut  
>aussi remplacer le peripherique d'entree par un autre (de meme pour le
>peripherique de sortie). On peut modifier l'un sans toucher a l'autre.
>Avec PS on a casse le lien unissant les deux peripheriques (et les deux  
>fonctions : composition - rendu).
>
>Hugues.

Il y a quand même un gros avantage, c'est que PostScript est un
standart de fait : on peut assembler les éléments de la chaîne
graphique que l'on veut, puisqu'ils causent tous PostScript.

Avec les Photocomposeuses Lino, Compu, Berthold ou autres, on avait la
"chance" d'être pieds et poings liés avec un matos propriétaire, qu'on
payait la peau des _BIP_.
Je me souviens de la tête d'un imprimeur qui avait cassé une touche de
sa compu, quand le commercial lui a présenté le devis...





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Si ça pue, c'est de la chimie
Si ça bouge, c'est de la biologie
Si ça ne marche pas, c'est de l'informatique.