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Message : Quand on veut, on peut... (Jacques Melot) - Vendredi 04 Septembre 1998 |
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Subject: | Quand on veut, on peut... |
Date: | Fri, 4 Sep 1998 12:01:44 +0100 |
From: | Jacques Melot <melot@xxxxxx> |
En relisant un article de A. de Jussieu publié en 1728 dans les Mémoires de l'Académie royale des sciences et je constate que, dans le corps du texte, les e capitalisés à l'initiale ont été accentués lorsqu'il le fallait, mais d'une manière peu courante : en faisant suivre E de l'accent, soit E´tranger, E´diteur, etc., en agissant sur le crénage de manière à ce qui cela soit supportable (et donc ne ressemble pas à une apostrophe). Je ne dis pas que c'est la meilleure des solutions, mais cela illustre que « quand on veut, on peut ». C'est le principe des machines à écrire islandaises, sauf que dans ce cas l'accent précède la capitale : ´Ar pour Ár (Année). Jacques Melot, Reykjavík
- Quand on veut, on peut..., Jacques Melot <=
- <Possible follow-ups>
- Re: Quand on veut, on peut..., Patrick Andries (04/09/1998)
- Re: Quand on veut, on peut..., Patrick Cazaux (04/09/1998)