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Message : Re: Quand on veut, on peut... (Patrick Cazaux) - Vendredi 04 Septembre 1998 |
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Subject: | Re: Quand on veut, on peut... |
Date: | Fri, 4 Sep 1998 19:38:10 +0200 |
From: | Patrick Cazaux <pcazaux@xxxxxxxxxxx> |
Jacques Melot disait le 4/09/98 13:01 > En relisant un article de A. de Jussieu publié en 1728 dans les Mémoires >de l'Académie royale des sciences et je constate que, dans le corps du >texte, les e capitalisés à l'initiale ont été accentués lorsqu'il le >fallait, mais d'une manière peu courante : en faisant suivre E de l'accent, >soit E´tranger, E´diteur, etc., en agissant sur le crénage de manière à ce >qui cela soit supportable (et donc ne ressemble pas à une apostrophe). Je >ne dis pas que c'est la meilleure des solutions, mais cela illustre que >« quand on veut, on peut ». Il y a un exemple du même type dans le premier bouquin de Perrousseaux, dans lequel le compositeur a meême utilisé un v renversé pour pallier l'absence d'accent circonflexe. Patrick Cazaux Cadratin pcazaux@xxxxxxxxxxx
- Quand on veut, on peut..., Jacques Melot (04/09/1998)
- <Possible follow-ups>
- Re: Quand on veut, on peut..., Patrick Andries (04/09/1998)
- Re: Quand on veut, on peut..., Patrick Cazaux <=