Re: [K2] LA SYNTHESE (pre-finale)

[Alain Hurtig <alain.hurtig@xxxxxxxxxxx>]

At 5:30 +0100 11/11/98, Olivier RANDIER wrote:
>triviaux et beaucoup moins typos, comme le trapping ou la gestion de couche
>de transparence pour les images, le genre de petits détails sans intérêt
>qui nous pourrissent l'existence au quotidien.
>
Je propose qu'on arrête là, sinon on ne finira jamais !

Une simple remarque : p. 58, tu fais une lourde référence à ProLexis.
J'aime ce correcteur presque autant que ma copine, c'est tout dire ! (mais
je fréquente ProLexis depuis bien plus longtemps :-)). Je pense cependant
que tu devrais enlever cette référence à un produit spécifique. Après tout,
il existe d'autres correcteurs ortho-typo-syntaxo-etc. sur le marché : ce
n'est pas Jean Fontaine (bien silencieux ces jours-ci) qui me démentira !
Je crois que nous n'avons aucun intérêt à promouvoir une marque plus qu'une
autre, ni à entrer dans des querelles de chapelles (et je n'ai toujours pas
testé le correcteur de Jean...)

Donc enlève cette référence (de même, ajoute « FreeHand » dans la partie
sur la gestion des images : pourquoi faire de la peine à Macromedia ?), et
pour le reste - à la réserve près des diverses présentations des
intervenants -, pour moi ça roule comme ça !

On envoie. On promet une (hypothétique ?) traduction en anglais. On
s'assied en bavardant « sexe des fines » et « ouverture des guillemets
fermants » (ou l'inverse). Et on attend de voir ce qui se passe.

Signé : le nazi de service*

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* C'est curieux : il y a à peine plus d'un an, et sur une autre liste,
j'avais été traîté de nazi par un excité, et de stalinien par un autre. Ça
m'avait un peu vexé, à l'époque : au moins un des lecteurs de la liste Typo
(très silencieux, lui aussi...) doit s'en souvenir ;-).
   Bref, j'adresse toute ma sympathie à Jacques, Jean-Pierre, and so.

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PS : À ceux qui voudraient continuer la vaine polémique, je signale que
Bujardet s'est désabonné. Question : est-ce que _tous_ les dessinateurs de
caractères sont aussi caractériels (si j'ose dire) ?

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PPS : Message perso et non-perso à la fois à Jacques Melot.
  On ne sait jamais quoi dire, ni que faire, face à ceux qui disent leur
deuil, leur désarroi, leur chagrin : cet intime sentiment du gouffre et de
la perte irrémédiable.
  On ne sait jamais que faire, sauf témoigner que le chagrin d'autrui est
aussi (qu'il est toujours) son propre chagrin.

  « Car le sort des fils de l'homme et celui des bêtes sont identiques. La
« mort de l'un est comme la mort de l'autre : ils ont tous deux le même
« souffle. [...] Et j'ai vu qu'il n'y a rien de meilleur pour l'homme que de
« se réjouir dans ses oeuvres : c'est là sa part. »

Alain Hurtig                                    mailto:alain.hurtig@xxxxxxxxxxx
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Recherchons les enfants, les parents des enfants, les enfants des enfants,
les cloches du printemps, les sources de l'été, les regrets de l'automne,
le silence de l'hiver.
   Philippe Soupault, _Un deux ou trois_.