Le mystere de Hambidge

[Alain Hurtig <alain@xxxxxxxxxxxxxx>]

At 20:14 + 0200 8/04/02, Olivier Randier wrote :
>Justement, sur Hambidge, je t'avais demandé ici d'où tu tenais ton
>interprétation du tracé, vu que la définition donnée par Duplan et Janneau
>
Le problème est qu'ils n'en donnent pas du tout... Ils le posent là, sur la
table, et débrouillez-vous.

>Je crois que j'ai ma réponse, puisque dans ton autre message, tu
>dis que tu l'as deviné tout seul (mais je me demande quand même comment)...
>
Les lignes compliquées sont les horizontales (sauf les médianes bien
entendu), le reste se déduit de lui-même.

Ben, j'ai mesuré les intervalles, tout simplement, et relevé les constantes.

Le résultat est bon dans leur exemple, j'ai aussi eu du bonheur avec je ne
sais plus quel bouquin (TAZ peut-être), des aberrations dans d'autres cas.

Il est probable que la proportion verticale des 5° n'est pas la bonne (ou
relève du simple exemple proposé).

Pour ma page, j'ai assez longuement cherché sur Internet si quelqu'un
d'autre parlait de ce canon, sans rien trouver.

> - Tiens, j'en
>profite pour faire un autre test : est-ce que tout le monde reçoit bien les
>tirets de ce message ?
>
C'est tout bon pour moi (sur Macintosh).

-- 
« Quand on n'a plus rien à désirer, tout est à craindre ; c'est une
félicité malheureuse. La crainte commence où finit le désir. »
   Baltasar Gracian, L'homme de cour.