Re: euro et nj

[Michel Bovani <michel.bovani@xxxxxxxxxx>]

Le 19/08/02 23:34, « Gilles Pérez-Lambert » <Gilles.Perez@xxxxxxxxxxxxxx> a
écrit :

> Bonjour à tous,
> 
> Olivier Randier a dit:
> 
>> À mon sens, il n'y a pas lieu de l'utiliser du tout (ce n'est d'ailleurs pas
> 
> D'accord. Mais quitte à l'intégrer à une police, autant qu'il soit avec
> empattement si la police l'est. L'euro est un symbole monétaire comme le
> dollar ou la livre.

On peut se le demander... Le dollar ou la livre sont relativement vieux, et
j'ai l'impression que personne ne s'est jamais posé de question
existentielle à leur propos. Ils sont là, period.
Et puis l'euro est une unité de compte dont on a voulu faire un symbole et
un emblème. Il faut bien que ça se paie quelque part (en cadratins
probablement...)



> J'avoue qu'un euro sans empattement avec une police avec
> me choquerait : Apple a fait ça à la va-vite depuis Mac O.S. 8.5 mais a changé
> avec OS X pour les nouvelles polices installées (Optima, Papyrus, etc.) :
> l'euro est de même caractéristique que la fonte.

Bon, si tu veux, mais l'argument est un peu faible. Apple se trompe souvent.

> 
>> c'est un caractère, et ça doit s'adapter à la fonte courante, comme un $ ou
>> un ¥. Mais dans ce cas, il faut reconnaître que c'est particulièrement mal
>> foutu.
> 
> Oui mais a-t-on le choix maintenant ?

Le problème c'est que je ne sais pas faire un euro sérif (ça ne veut rien
dire). Je sais respecter une norme et dans ce cas je fais un euro sans bien
rond. Sinon, je peux lire ceci (merci Jean-Marie) :

« Le symbole graphique de l'euro ressemble à un E traversé par deux lignes
parallèles horizontales clairement marquées. Il s'inspire de la lettre
grecque epsilon et rappelle à la fois le berceau de la civilisation
européenne et la première lettre du mot 'Europe'... »

Et je peux commencer à me dire que l'euro-epsilon d'Olivier n'était pas si
mal... Ou alors je prends un E cap, je le traverse par deux lignes
horizontales (donc en tout ça en fera trois) et roule...


> 
> Gilles.

-- 
Michel Bovani