Re: [typo] Vous revoir...

[Nicolas Larderet <n.larderet@xxxxxxx>]

Je confirme... Combien de fois, en tant que SR, j'ai dû couper dans le 
lard d'un article de 7000 signes alors que je n'avais de l'espace que 
pour 1500 signes...

Quand en plus c'est mal écrit (et je pèse mes mots), plein de fautes, 
copié-collé du dossier de presse ou trop élogieux pour un élu... Aucun 
scrupule !

NL

Jacques André a écrit :
> Le 22 oct. 2008 à 21:47, Alain Hurtig a écrit :
> >  M'enfin, réécrire un texte parce que
> > typographiquement il vous pose problème,je trouve que c'est une pratique
> > assez peu honnête - dans la vraie vie je veux dire ;
>
> Tu n'as pas l'air de connaître la vraie vie de la presse, notamment 
> quotidienne, où c'est une pratique courante, sinon obligatoire. Faire 
> tenir 5 100 signes là où on n'a droit qu'à 5 000 signes oblige souvent 
> à l'emploi de ciseaux... Fernand Baudin avait écrit un beau texte 
> là-dessus (Dossier mise en page, Rencontres de Lurs et éditions 
> Mayermans, 1972), avec illustrations convaincantes d'une veuve 
> justement sauvée par suppression de qq mots.
>
> Plus prosaïquement les chercheurs qui soumettent des articles aux 
> revues scientifiques ou aux congrès ont aussi ce problème de tenir en 
> N pages tout en respectant la maquette, le style imposé. S'ils ne le 
> font pas, c'est souvent l'« éditeur » de la publication qui le fait et 
> il se sent d'autant moins malhonnête que l'auteur, à qui l'on demande 
> aujourd'hui d'être son propre metteur en page,  ne l'a pas fait 
> (quoique la pratique la plus courante, quasi systématiques dans les « 
> grandes » revues américaines,  soit de refuser de publier le papier !).
>
>
> --
> Jacques ANDRÉ

begin:vcard
fn:Nicolas Larderet
n:Larderet;Nicolas
org;quoted-printable:Conseil g=C3=A9n=C3=A9ral des Hautes-Alpes;Service communication et technologies de l'information
email;internet:n.larderet@xxxxxxx
title;quoted-printable:Magazine d=C3=A9partemental
tel;work:04 92 40 38 59
tel;cell:06 73 85 79 56
version:2.1
end:vcard