« Immédiatement », j’ai quelques doutes… 3 000 000, c’est combien de mots ?
Elle l’est à partir du moment où a) elle n’est pratiquée par — quasiment — personne sous cette forme ; b) elle s’appuie sur une notion — le mot — bien mal définie et bien mal circonscrite. Un exemple parmi quelques milliers : N.D.)-(L.R., c’est une coupure ou une division proscrite ? Idem pour « pomme de terre », « aujourd’hui », « je-m’en-foutisme », etc. Un mot ? Deux mots ? Trois mots ? Quatre mots ?
En outre, on parle bel et bien de « coupures malsonnantes » et non de « divisions malsonnantes »…
Cordialement,
Amalric
Re: [typo] Coupure après apos
Hmmm, notre expert commun (en commun et pas quelconque) se fait le porte-voix d'une terminologie qui à moi ne me semble pas si artificielle que cela. Ce distingo « suisse » ne présente-t-il pas l'intérêt de nous donner à voir immédiatement à quoi l'on a affaire ?
Il me semble qu'ainsi on évite l'emploi du même terme (que Lacroux emploie) <coupure de ligne> et <coupure de mot> pour deux choses bien différentes et exceptionnellement concomittantes.
Armelle D.
Le mardi 6 avril 2021 à 21:57:40, vous écriviez :
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Hmmm… au risque de me faire tirer l’oreille par mon expert, cette distinction — passablement artificielle — n’est reconnue pour ainsi dire par personne, hormis le Guide du typographe (et encore…). Si une distinction devait être opérée, ce que la plupart se gardent de faire, elle consisterait à voir dans la coupure un phénomène plus générique et il est vrai qu’on ne parle pas vraiment de division entre le quantième et le mois, par exemple. Lorsqu’il s’agit d’un « mot », on parle indifféremment de coupure ou de division.
Cordialement,
Amalric
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Le 6 avr. 2021 à 20:06, mea info <info@xxxxxxxxxxxxxxxxx> a écrit :
Pardonnez mon outrecuidance... mais il ne s'agit pas de coupure (séparation de deux mots) et encore moins de césure (terme de poésie).
Nous parlons de division de mots...
L'au-teur n'est pas une division choquante en soi quand elle a lieu dans une justification courte (colonne de journal ou autre). En revanche, on pourrait l'éviter si la justification est suffisamment large pour ce faire...
Mais j'enfonce des portes ouvertes je crois bien...
mea
Le 06/04/2021 à 17:38, Jacques André a écrit :
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On me pose la question suivante, à laquelle je n’ai pas de réponse évidente...
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Lorsqu'on dit qu'on veut _une césure avec trois lettres minimum sur la première ligne_ est-ce que tu
es d'accord avec moi sur le fait que l'article élidé ne doit pas faire partie du compte de lettres ?
Donc que
l'au-
teur
ne devrait pas être autorisé parce que en ce qui concerne le mot "auteur" il n'y a que deux lettres sur la
première ligne. |
Qui a des compétences sur ce sujet ?
J.A.
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Cordialement,
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