Re: De la belle typo & des beaux textes

[Alain LaBonté <alb@xxxxxxxxxxxxxx>]

A 05:20 98-07-31 +0200, Alain Hurtig a écrit :
>Histoire de me faire des amis, j'avoue de surcoît me contrefoutre des
>problèmes de clavier... et détester le cross-posting tout autant que les
>débats sur Windows et Excel (débats hors-charte, évidemment, mais certains
>ne se soucient pas de la règle commune avec une telle insolence qu'elle
>décourage les meilleures bonnes volontés).

   [Alain LB] :
   Comme cela me vise directement, je dois dire qu'il y a ici mauvaise foi
de ta part, cher homonyme (; 

   Ce n'est pas un problème propre à Excel que je soulignais (il faut
savoir lire entre les lignes et avoir l'esprit ouvert à la
multi-disciplinarité, bien sûr), mais je documentais un banc d'essai
susceptible d'intéresser tous les imprimeurs et de s'appliquer à beaucoup
de logiciels semblables utilisés en typographie... Ce sont les imprimeurs
(pour ne pas dire des typographes, car les métiers n'ont pas toujours été
si distincts que ces deux spécialités s'ignoraient, comme je l'apprend
aujourd'hui) qui ont choisi les règles arcanes de classement des mots dans
les dictionnaires français, dixit la maison Robert et la maison Larousse.

   À mauvaise foi, mauvaise foi et demie : que veut dire le néologisme
français « crosse postiche » ? Serait-ce le nouvel instrument sacerdotal de
faux-évêque d'une secte-bidon? Cela est absent de mon vocabulaire sans
doute pas assez surnaturel (; (:

   Sans rancune (comme d'habitude),

Alain LaBonté
Québec

P.-S. :

[Alain H.] :
>   Reproche-t-on au luthier d'apprécier le son d'un violon, indépendement
>de la musique jouée ? Reproche-t-on à un programmeur d'aimer un algorithme,
>sans tenir compte de la destination finale du logiciel ? Évidemment pas...

   [Alain LB] :
   Oui, justement, foi d'informaticien, et avec raison ; chez nous, on
appelle ce genre de personnes des individus bornés, n'ayons pas peur des
mots ! Et heureusement, s'ils ne tiennent pas compte de la destination
finale, en ces temps économiques difficiles, ils risquent leur emploi !

Alain LaBonté
Québec