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Message : [PALEO] Promenades aux Puces - Le retour

(Leraillez Benoit) - Dimanche 29 Novembre 1998
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Subject:    [PALEO] Promenades aux Puces - Le retour
Date:    Sun, 29 Nov 1998 19:50:50 +0100
From:    Leraillez Benoit <Leraillez@xxxxxxxxxx>

Cette fois-ci j'ai craqué et je me suis offert quelques éditions du 
XVIIIe à peu de frais ce qui va me permettre de poser des questions à 
cette docte assemblée sur les us et coutumes des anciens ;-)

Chiffres romains
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C'était sous mon nez mais il m'a fallu du temps pour voir que :
- la numérotation des pages de préface et sommaire est faite avec des 
chiffres romains en minuscule (est-ce une règle ?) ;
- le corps utilisé est le même que celui du texte des pages (plus petit 
dans le cas du sommaire) ;
- le dernier « i » est un « j », c'est à dire qu'un huit s'écrit « viij ».

Pour quelle raison remplaçaient-ils le « i » par un « j » et pourquoi 
utiliser des minuscules dans ce cas précis (y en a-t-il d'autres ?).


Parenthèses
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Elles sont toujours suivies et précédées d'une espace mot. Ce qui a pour 
effet de créer de grands blancs dans le gris.


Guillemets
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Je n'ai pas retrouver de livre possédant un exemple de guillemets 
continus externes (par rapport aux guillemets continus au fer à gauche). 
Par contre j'ai un exemple où, à travers toute l'édition, le dernier 
guillemet est un guillemet ouvrant ce qui donne :

Blabla blabla blabla « Blabla
» blabla blabla blabla blabla
» blabla blabla blabla blabla
» blabla blabla blabla blabla
» blabla blabla blabla bla «.

Un autre édité plus tard utilise par contre des guillemets ouvrants en 
début de ligne.


Tirets
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Ils sont composés de trois traits d'union mis bout à bout ou presque.
Les marques de césure sont par contre de longueur variable ce qui permet, 
je crois, un peu de souplesse dans la justification.
Les traits d'union sont flottants comme les virgules.

Virgules
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Elles sont bien sûr flottantes mais si l'espace est toujours plus petite 
que l'espace mot elle varie pour cause de justif.


Capitales accentuées
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Toujours bien sûr*, quitte à mettre des apostrophes à côté en guise 
d'accents comme « IDOME'NE'E ». Par contre je n'ai encore jamais vu de 
« À ».


Benoît Leraillez

* L'accentuation des capitales est un art difficile car à l'époque la 
langue utilisait manifestement moins d'accents qu'aujourd'hui ;-)