Re: parenthèses et gras

[Jacques Melot <melot@xxxxxx>]

 Le 9/12/99, à 15:27 +0100, nous recevions de Jacques Andre :

> Lacroux wrote:
>
> > Oui, parenthèses grasses, mais j'espère bien qu'ils sont rares, tes
> > cas...
> > Parce que, hormis les entrées de glossaire ou quelques cas similaires,
> > j'ai quelque peine à saisir l'astuce... Si un fragment de texte est en
> > gras (pouah...), c'est qu'il est salement important, first class, à ne
> > pas manquer... et s'il est si important que ça... qu'est-ce qu'il fout
> > entre parenthèses ?
>
> Je faisais allusion à une élision vue récemment qui était en gros (pas
> en gras) comme ça (où * est un marqueur de début et de fin de gras) :
>
> Le nom de ceci est toto (il faut donc utiliser *tata* pour y accéder) ;
> son inverse est otot *(atat)*, etc.



   Peut-être, mais à mon avis, dans le second cas, il n'y a pas, ou 
plus exactement, plus à mettre de gras (l'haleine du premier flotte 
encore sur le second...). Le gras est un artifice typographique, son 
usage une fois (qui est une fois de trop, m'enfin...) n'entraîne pas 
que vous devez le trimbaler jusqu'au colophon par esprit de suite...

   Jacques Melot


> --
> Jacques André
> Irisa/Inria-Rennes,   Campus de Beaulieu,  F-35042 Rennes Cedex,
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> Tél. : +33 2 99 84 73 50,  fax : +33 2 99 84 71 71, email :
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