Re: Hermes part. II (a propos du gris typographique)

[Alain Hurtig <alain@xxxxxxxxxxxxxxxxxx>]

> At 10:30 +0100 23/11/00, dennis collins wrote:
> Je vois qu'il reste pas mal (une quinzaine) de coupures avant des 
> syllabes muettes -
C'est beaucoup trop.

Parfois, j'ai toléré quelques syllabes muettes après une césure, 
parce que les supprimer foutaient un souk épouvantable dans les 
lignes suivantes (typiquement : généraient un tas de césures). Mais 
une quinzaine... C'est de l'inattention ou de la fatigue pour au 
moins un tiers, et peut-être les deux-tiers d'entres elles.

> parfois même deux de suite sur deux lignes consécutives (p. 68).
D'autant qu'il n'y a pas deux césures fautives dans cette page, mais 
trois. Le « pré-cédemment » qui est juste au dessus n'a pas lieu 
d'être !

Au prix d'une ligne un peu blanche (à cause du « pré- » qui saute), 
les deux césures sur syllabe muette s'en vont. Merci d'avoir signalé 
la faute. Le PDF en ligne sera corrigé dès que possible, évidemment. 
Comme quoi la liste Typo sert à quelque chose...

> At 11:07 +0100 23/11/00, Lacroux wrote:
> Ah que oui !... elle est belle, elle est charmante, c'est comme un oiseau qui
> chante, mais elle n'est (et ne fut... et ne sera...) pas toujours et partout
> respectée.
Il s'agit de la règle sur les syllabes muettes. Elle devrait toujours 
être respectée, d'autant que c'est presque toujours possible. On peut 
faire le choix de l'exception ici ou là ; mais l'ignorer, c'est de 
l'arrogance ou de l'inculture (du mépris du métier).

Ni Xpress, ni Indesign, ne la connaissent, cette règle. :-((((( 
(grosse colère).
--
Alain Hurtig 
mailto:alain@xxxxxxxxxxxxxxxxxx
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Or ça, salopins, serre-argent, palotins, hommes de finances, larbins
chimiques, approchez ici. Qu'avez-vous à m'apprendre ?
   Alfred Jarry, _Ubu cocu_