Re: Question aux maquettistes

[Paul Pichaureau <pichaureau.paul@xxxxxxxxxx>]

Paul Pichaureau a écrit :

>   Je ne suis pas maquettistes du tout, mais c'est le genre de  question


  Je m'excuse pour ce mail envoyé par erreur dans cet état. Je n'en
avais pas fini la rédaction, j'ai voulu le mettre de côté, et pof, c'est
parti tout seul.

  J'espère que mon explication était claire.

  Sinon, pour finir, je dirai que la plupart du temps il y a des
contraintes très fortes pèsent sur la mise en page : format de papier,
nombre de page, choix limité de police, moyen de diffusion (internet,
photocopie, etc.).

  En tant qu'amateur, j'ai évidemment surtout fait des mise en page sur
du A4 (format très médiocre) ou laors sur une largeur de  cm et je
massicote le bas des pages à une hauteur déterminée. On trouve parfois
dans le commerce des papiers de format différents, mais ça oblige à
alimenter la photocopieuse à la main...

  Dernière remarque pour Thierry : je ne pense pas qu'il y ait un
ensemble de paramètres qui définissent vraiment une mise en page. Par
exemple la longueur des lignes : on la donne en centimètres, en nombre
de mots, en nombre de caractères, de lettres ? Elle a des sens
complètement différent suivant le choix fait, et surtout donne une mise
en page complètement différente à chaque fois. Quand je dis complètement
différente, je  ne veux pas dire visuellement (le différences peuvent
être minimes parfois) mais dans l'esprit de la mise en page. 

  Un autre exemple : la place du numéro de page. A mon goût : en haut à
droite (sur une page de droite) ça fait plutôt technique, dictionnaire
car le numéro est facile à retrouver. Centré en bas de page, ça fait de
la page un objet en soi, un tout clos et qui se suffit à lui même. En
bas à droite, c'est informatif, imperceptible mais présent, et quasiment
inutilisable pour la consultation (à mon goût). Dans la marge de droite
à une certaine hauteur : toujours technique, mais soigné, pensé,
réfléchi. Etc.

			Paul