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Message : Re: [typo] longueur de ligne et interligne

(mea info) - Mercredi 14 Mai 2003
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Subject:    Re: [typo] longueur de ligne et interligne
Date:    Wed, 14 May 2003 15:37:52 +0200
From:    "mea info" <info@xxxxxxxxxxxxxxxxx>

c'est bien dommage, mais je maintiens mon sentiment que la description de ce
phénomène doit bien repondre à des règles (après tout la recherche d'un
canon pour l'empagement et qu'on a voulu relier au nombre d'or (ce qui au
passage contrairement à ce qu'on apu dire et tout sauf de l'empirisme
esthétique puis que le nombre d'or est de la mathématique pure!) et cela me
rappelle (ce que j'avais commencé à dire) mes confrères médecins à qui il
est très difficile de faire dire deux choses simples (disjointes) comment
voient-ils leur informatique de gestion de patients (en général ils
demandent n'importe quoi par absence totyale de reflexion sur leur besoin
pragmatique et en général ça finit par "de toutes façons l'informatique ne
peut pas decrire comment j'ecrismes observations de patients, ce qui hélas,
l'expérience leprouvant, que ce n'est pas l'informatique qui défaille, mais
les praticiens qui refusent de modéliser leurs données simplement  [par peur
de perte de pouvoir ou flemme intellectuelle en toute bonne foi?] et comment
font-ils leurs disgnostics (et dans ce cas on ejoint l'absence
demodélisation, heueusement sur ce dernier aspect, la modernité et les
patients aidant, il y a un peu plus d'efforts de reflexions personnelles,
sous leur pression]

d'ou ma question! et comment apprend-on à avoir ce coup d'oeil? (je précise
quend même que je n'en suis pas a ma premiere mise en page mais bien au
stade du "je me pose des questions car je vousdrais faire encore mieux et
toujours mieux!"

mea consulting


>
> Il y a en typo des endroits où les mathématiques n'ont rien à faire...
> Ce problème du rapport noir/blanc relève notamment de processus
> psycho-cognitifs pas très bien dominés aujourd'hui et il commence à y
> avoir qq publications ou expériences sur des crénages automatiques par
> exemple, souvent basées sur des modèles simplistes. Mais ça relève aussi
> beaucoup d'esthétique qui donc n'est pas toujours modélisable.
> Jacques André, Irisa/Inria-Rennes