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Message : hRe: [typo] italique des guillemets

(Jef Tombeur) - Mardi 18 Novembre 2003
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Subject:    hRe: [typo] italique des guillemets
Date:    Tue, 18 Nov 2003 21:36:05 +0100
From:    "Jef Tombeur" <jtombeur@xxxxxxx>

From: "Pierre Schweitzer" <pierreSc@xxxxxxx>
> Ah bon ! Italiques et guillemets s'excluent l'un, l'autre ?
> Pas possible de composer en italiques à l'intérieur
> des guillements ?
>
Allez, allez, grosse mauvaise foi et envie d'en découdre ?
Ah, c'est vrai qu'on a eu un bon vrai petit baston de derrière les fagots
dernièrement (merci aux protagonistes, cela nous a toutes et tous rajeunis, je
parle des ancien[ne]s).
Oui, et Pierre Sc. le sait tout aussi bien que d'autres, ils peuvent «
s'exclure » si la citation est longue, en italiques, et fait l'objet d'un
paragraphe distinct. En fait, rien ne l'interdit formellement (j'ai relu la
Constitution, les divers Codes, c'est pas dedans).
Mais, pour ma gouverne, je ne vais pas utiliser les guilles pour ce type de
citation.

En revanche, si je voulais raffiner, histoire de me faire ch... à faire, et
jouer les cuistres (j'adore, mais point trop n'en faut), je devrais distinguer
les citations en langue fr. et en d'autres langues...
Le truc, par ex. dans _Les Femmes et les métiers du Livre_ (et non, le F n'est
pas de majesté, mais je me refuse à ne pas capitaliser la bdc du premier mot
après l'article), serait de mettre les citations en fr. et en ang. en
italiques mais d'utiliser, par ex., une police comme la Classica ital. et sa
variante Gallic.
Soit, pour simplifier, une vraie ital. et une oblique.
Mais j'ai renoncé.
Trop fauché pour acheter d'autres polices à Puyfoulhoux.
Pas envie d'entrer dans cette logique qui pourrait vouloir, aussi, que
j'utilise une pol. d'inspiration fr. pour le fr., et une compatible,
d'inspiration ang. pour l'ang.

Au fait, ce samedi, à l'E.P.H.E. (Sorbonne, place au nom éponyme, Sabine
Juratic soutient sur les acteurs de l'économie de l'imprimé).
J'hésite... Elle m'a bien aidé pour mon mémoire...
Mais si Auger (colistier) ne retourne pas en Suisse et vient y faire un tour,
peut-être renoncerai-je à filer en province (où m'attendent des corvées).
Il m'a montré le Morison. Beau (cf. les archives, et les messages sur la
librairie de la rue de Beautreillis).

Au fait, et Typothon ?
On se relâche, je trouve...

Autre nouvelle...
Pas envie de relire mes notes, mais au séminaire inaugural de Frédéric
Barbier, il fut question des Bibles disponibles dans les diverses
bibliothèques parisiennes à l'occasion de la sortie d'un bouquin de
bibliothécaires en recensant la plupart.
Gros machin fort cher (c'est justifié, vu la somme de boulot, le nb. de pages,
etc.).
Renoncé à tenté de chercher à savoir si François Cavaillon, de Nice, qualifié
d'imprimeur « imaginaire » (il n'en existe pas de ce nom, hormis sur une page
de titre) était homme, femme, ou transexuel (anachronisme) au réel.
Il a bien existé, vers 1660, un F. Cavaillon, mais ça ne concorde pas.