Re: [typo] Voeux 2009, d'Éric Angelini (la vérité enfin révélée )

[Alain Hurtig <alain@xxxxxxxxxxxxxx>]

Une chose m'intrigue, Thierry...

At 17:29 + 0100 16/01/09, Thierry Vohl | Light Motif wrote :
> (l'évidence eut sans doute ici
> préféré que le texte se situe verticalement à 1/3
> 2/3 dans le bloc).
>
Je crois que je viens de comprendre ce que signifie votre phrase. Désolé,
mais j'ai esprit lent...

Voulez-vous dire, je n'en suis pas vraiment certain, que le blanc en pied
du texte de cette page d'exemple (la page 37 du livret) devrait être égal à
la moitié du blanc en tête ? Distance mesurée par rapport au bloc
d'empagement, bien sûr, pas par rapport à la page dans sa totalité...

Dans ce cas, je viens d'aller voir, et il me semble que c'est effectivement
là qu'il est placé, à une ligne près. Naturellement, en montant ma page, je
n'avais mesuré ni le tiers, ni les deux tiers. J'ai juste bougé le bloc de
texte à l'intérieur du bloc d'empagement jusqu'à ce qu'il trouve sa place.
Et sa place était là, pas ailleurs. Parce que la page 37, si on déplace le
bloc pour le mettre là une ligne plus haut comme vous le souhaitez, elle
devient statique et déséquilibrée à la fois.

Mais, dites-moi : pour les autres pages (hormis les rares pages pleines,
bien sûr) aurait-il fallu, selon vous, suivre ce même rigoureux principe de
construction ? Un tiers, deux tiers de blanc ? Ça aurait été très monotone
pour le lecteur, vous ne croyez pas ? Et « évidemment » pas nécessairement
très joli...

> « [...] L'empagement très rigoureux, selon la
> méthode classique de Honnecourt [...] - mais
> largement subvertie [...] ». L'oxymore au secours
> de la composition ?
>
Disons que j'ai depuis longtemps passé l'âge de suivre mécaniquement mes
exercices scolaires, d'avoir peur de ma propre ombre quand je détourne un
Saint Principe. Et surtout d'en faire l'outrecuidant reproche à autrui
lorsqu'il en prend le risque.

Est-ce que la remarque ainsi formulée vous convient mieux ?