Re: [typo] DÉSAMBIGUÏSEZ !

[Jean-François Roberts <jean-francois.roberts@xxxxxxxxxx>]

Non... ça trahit votre peu de commerce avec les correcteurs professionnels,
en effet : le feuillet de 1 500 signes n'a d'intérêt que pour les
rédacteurs, traducteurs et autres rewriters.

Le correcteur vous demandera le tarif de l'heure (net ou brut), étant
entendu qu'il y a des barèmes (milliers de signes corrigés par heure), en
fonction du travail : préparation de copie, première ou seconde lecture avec
ou sans copie, sur écran ou sortie papier... Compter également une
majoration tarifaire pour textes scientifiques ou en langues étrangères.

Une fois cette question cruciale tranchée, on passe en effet aux questions
permettant d'établir la marche souhaitée par le donneur d'ouvrage, la
première de ces questions portant en effet sur l'accentuation des cap. (Mais
encore : style des guill. ? des appels de notes ? style pour les sigles ?
pour les tirets ? marche pour les titres et inters ? etc.)

> De : Thierry Bouche <thierry.bouche@xxxxxxxxxxxxxxx>
> Société : Institut Fourier
> Répondre à : typographie@xxxxxxxxxxxxxxx
> Date : Tue, 24 May 2005 13:59:29 +0200
> À : typographie@xxxxxxxxxxxxxx
> Objet : [typo] DÉSAMBIGUÏSEZ !
> 
> 
> Le vendredi 20 mai 2005 vers 08:40:22, Jean-François Roberts écrivait :
> 
> JF> Ne mélangeons pas tout. Les fautes des uns ne justifient en rien les
> fautes
> JF> que prônent ceux qui les condamnent.
> 
> Là, c'est vrai que, même en tout-cap et sans accents, le sens ne serait
> pas affecté !
> 
>>>> Quand on a l'expérience de la correction professionnelle, la première
>>>> question que l'on pose à un client ou donneur d'ouvrage est donc : cap.
>>>> accentuées ? ou non ?
> 
> Naïvement, je croyais que c'était : « Combien le feuillet de
> 1500 signes ? »
> 
> 
> Thierry          
> 
>