[typo] Pourcentage

[jtombeur@xxxxxxxxxxx]

‌Comme d'aucunes et d'aucuns le savent (peut-être, enfin, une infime minorité au mieux, réductible à pas grand' monde), je me penche sur les écrits de Roger Vailland (alias... multiples) dans Paris-Midi et Paris-Soir (on s'occupe comme on peut, ou veut aurait ajouté Boby Lapointe... de feutre).
Or donc, dans le chap. V de Leïla ou les ingénues perverses, je me heurte à la forme : 
« 10 0/0 » (soit, contexte : « sur les amendes qu'il inflige »). Entendez : pour cent.
Question... Paris-Soir usait-il de Lino, de Mono, d'autres « ...types », et le/les caractère(s) (et glyphe[s]) idoine(s) étai(ent)-il(s) disponible(s) ; ou s'agit-il, une fois est coutume, de la désinvolture de ces ... ouvriers du Livre/de la Presse qui se sont tant foutus de nous, les plumitifs ? 
La question est d'importance cruciale ; -)
Toute l'historiographie de la composition dépend de la/des réponses. ;-)
Bon, d'accord, j'ai une fois de pire ramené ma fraise avec un truc abscons.

Nonobstant — saura-t'on jamais ? — la paléomachinchose de je ne sais plus trop quoi fera peut-être un pas gargantuesque.
Pourquoi donc, composant la quatrième édition de Paris-Soir datée du 10 octobre 1932, nos feus (heureux et malheureux, mais estimés) confrères employèrent-ils la forme 0/0 ?
Il est loisible d'oublier et de reprendre une activité normale. À quoi bon se tarabuster ? 
En sourire suffira...