Re: Re: Re: [typo] Titres d'articles, de chapitres, etc.

[Thierry Cornu<thierry.cornu@xxxxxxxxxx>]

[A. H.]  Une suggestion : vous mettez votre source tout entière dans la
bibliographie, et vous la citez en abrégé dans les notes. Mais vous y
laissez le prénom (ou au moins l'initiale).

Ok. Ce doit être l'habitude de lire des articles scientifiques qui m'a mis sur
le "chemin des ténèbres" ;-)

[A. H.]  D'ailleurs, pourquoi citer la source en entier dans la première
occurrence ? Êtes-vous sûr que le lecteur lira la première note ? Non ? 

Ah ! Très juste. J'avoue ne pas avoir pensé à cela ; pour la simple raison que
je regarde _toujours_ toutes les notes une après l'autre (sauf le détail des
références tel que lieu, éditeur, ...). 
Il est vrai que j'ai une vision un peu biaisé du fait que je n'ai rarement eu à
lire un texte avec une multitude de notes (c.-à-d. plus de 5/page) qui ne
soient que des références.


> Sinon, quel intérêt d'abréger tout le reste ?
>
[A. H.]  [...]
Je n'en connais pas de troisième, sauf les cas rigolos où les notes sont
plus importantes et parfois plus longues que le texte qu'elles commentent ou
précisent. Mais en général, les notes ne servent pas à grand-chose hormis
tenter de faire croire au lecteur que l'auteur a réellement lu, ou même
simplement qu'il connaît, les livres dont il parle - ce qui d'ailleurs ne
trompe personne, donc autant les raccourcir le plus possible.

Vous oubliez, à mons sens, la raison d'être principale des notes : donner une
information supplémentaire au lecteur, qui interromperait néanmoins inutilement
le fil du texte.
Certes, les notes telles qu'utilisées dans les études de lettres et les
sciences humaines m'ont toujours fait sourir (il est tellement plus simple et
court d'écrire [2, p. #]).
Je n'ai pas ce problème lorsque je rédige (pour moi-même) puisque mes notes ne
servent qu'à préciser un détail.
Enfin, les auteurs ne donnent heureusement pas tous comme référence des textes
non-lus. J'écris "donnent comme référence", car il est parfois utile de
_signaler_ qu'un ouvrage connu pour être une référence en la matière, peut
intéresser le lecteur, même si soi-même on ne l'a pas (entièrement) lu.

> Les p'tites cap. redonnent un peu de prestige à un auteur
> vexé ;-)
[A. H.]  Non, elles servent à ça :
> permettent aussi de retrouvé aisément les sources dans une note un
> peu longuette.

Hum, je plaisantais ! 
(Un auteur susceptible au point d'être vexé pour ce genre de chose est
probablement un auteur fier de voir son nom en cap.)


[A. H.]  Mais dans tous les cas, on la suit avec aveuglement et obéissance, et
très souvent en maugréant qu'on voue le client aux pires gémonies (et autres
noms d'oiseau).

;-) Heureusement, je n'ai de compte à rendre à aucun client (textuellement
parlant). Il me suffit de me tenir à la marche choisie.


6) Il y a-t-il un ordre conventionnel pour la collection, le numéro, l'éditeur,
la date et le lieu ?
[D.] « Oui, les bibliographies des publications scientifiques sont régies par
des règles [?]. »



Enfin :

> 6) Il y a-t-il un ordre conventionnel pour la collection, le numéro, 
> l'éditeur, la date et le lieu ?
> [D.]	« Oui, les bibliographies des publications scientifiques sont 
> régies par  des règles [?]. »
[J. M.]   Hum... j'ai peur que vous confondiez, là. Dans la publication
scientifique, plus généralement universitaire, il est des marches diverses
[...]

Je ne sais pas si vous vous adressez à moi ou à Didier Pemerle. Dans tous les
cas :
Je n'ai pas ce problème pour les publications scientifiques ; je suis les
règles en vigueur, qui, sauf dans le cas d'un article dans une revue, sont de
toutes manières plus floues et incomplètes que celles que j'applique. Et comme
mentionné ci-dessus : le référencement des sources dans le monde scientifique
est tellement plus "droit au but"...


Merci encore pour ces conseils supplémentaires !
Si vous avez une réponse aux questions restant en suspens, elles sont les
bienvenues ;-)

Thierry C.