Franchement, je n'en sais rien...
Le truc de l'italisation, j'avais vu cela sur le site du Nouvel Ob's (SFR m'interdit de consigner un lien dans un courriel).
Le chapeau est rigolo car il n'a pas recours à cette italisation :
Les chercheurs Olivier Godechot et Gisèle Sapiro proposent d’utiliser le féminin générique italisé, plus fluide selon eux que le point médian.
En tout cas, ce serait institutrices...
Enfin, si j'en croit la dernière phrase :
« cette solution qui respecte scrupuleusement l’orthographe, la grammaire et la syntaxe traditionnelles ne pourrait vraiment susciter l’ire d’une grammairienne conservatrice – ni même d’un grammairien conservateur. »
Perso, pas plus envie de passer mon temps avec des surlignages et des Ctrl+i ou +s
Sont gentilles (là, j'ai fait un effort) les unes et les autres.
Mais je pense aux journaleuses et journaleux contraints de pisser de la copie... à toute blinde parfois. Et à tant d'autres. Plus aux gens saisissant avec deux-trois doigts.
Et pour les phrases italisées, faudrait penser à rebasculer en romain les itals incluses ?
Pour celles et ceux rétribués à la tâche ou au feuillet, la barbe...
Et pour les mensualisés, je ne vois pas trop le patronat accorder des heures sup' pour compenser la perte de temps à s'embêter avec cela.
Je ne sais plus ce qui pourrait suffire à contenter les féministes (et au fait quelles ou quels féministes ?). Et pour conclure, j'ai fini par m'en balancer : cela me touche une gonade sans faire bouger l'autre (pour paraphraser Chirac).
Mais bon, cela m'avait distrait de signaler au passage cette histoire d'italisation.
Le truc de l'italisation, j'avais vu cela sur le site du Nouvel Ob's (SFR m'interdit de consigner un lien dans un courriel).
Le chapeau est rigolo car il n'a pas recours à cette italisation :
Les chercheurs Olivier Godechot et Gisèle Sapiro proposent d’utiliser le féminin générique italisé, plus fluide selon eux que le point médian.
En tout cas, ce serait institutrices...
Enfin, si j'en croit la dernière phrase :
« cette solution qui respecte scrupuleusement l’orthographe, la grammaire et la syntaxe traditionnelles ne pourrait vraiment susciter l’ire d’une grammairienne conservatrice – ni même d’un grammairien conservateur. »
Perso, pas plus envie de passer mon temps avec des surlignages et des Ctrl+i ou +s
Sont gentilles (là, j'ai fait un effort) les unes et les autres.
Mais je pense aux journaleuses et journaleux contraints de pisser de la copie... à toute blinde parfois. Et à tant d'autres. Plus aux gens saisissant avec deux-trois doigts.
Et pour les phrases italisées, faudrait penser à rebasculer en romain les itals incluses ?
Pour celles et ceux rétribués à la tâche ou au feuillet, la barbe...
Et pour les mensualisés, je ne vois pas trop le patronat accorder des heures sup' pour compenser la perte de temps à s'embêter avec cela.
Je ne sais plus ce qui pourrait suffire à contenter les féministes (et au fait quelles ou quels féministes ?). Et pour conclure, j'ai fini par m'en balancer : cela me touche une gonade sans faire bouger l'autre (pour paraphraser Chirac).
Mais bon, cela m'avait distrait de signaler au passage cette histoire d'italisation.
De
: "diconoma"
A : typographie@xxxxxxxx
Envoyé: mercredi 17 Mars 2021 16:08
Objet : [typo] De l'écrit inclusif
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A : typographie@xxxxxxxx
Envoyé: mercredi 17 Mars 2021 16:08
Objet : [typo] De l'écrit inclusif
La dernière des propositions en date
consisterait à italiser la terminaison.
Non plus auteur·e·s mais auteures
► Et comment traiter les instituteurs·trices ?
► Afin de marquer qu’aucun sexe n’est exclu, le soulignement de la dernière lettre du mot (s ou x) suffirait-il à contenter les féministes ?
} cavaliers docteurs estafettes instituteurs institutrices jockeys militaires ministres présidents sentinelles soignants vigies
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