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Message : Re: appels de notes (curis) - Lundi 18 Février 2002 |
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Subject: | Re: appels de notes |
Date: | Mon, 18 Feb 2002 14:55:30 +0100 |
From: | curis@xxxxxxxxxxxxxx |
Dans son courrier, Thierry Bouche a écrit : « « clupf> Encore faut-il savoir quel est ce mot judicieux... « « certes, je pensais surtout à des trucs comme « le Cl2³ » qui peut se « remplacer par « le chlore³, dont la formule est Cl2 ... » (il y a aussi « des gens qui pondent des règles du genre « les appels de notes sont des « chiffres supérieurs dans le texte, et entourés de parenthèses dans les « formules pour éviter la confusion avec un exposant », faut se méfier !) Là oui, pas de problème pour moi non plus, je trouve de toute façon plus jolie la deuxième forme même sans note --- encore que, s'il faut remplacer une formule brute ou semi-développée comme C6H12O6-C(CH3)H-CH2-CH(CH3)2 par quelque chose du genre [1,3-diméthylbutyl]-O,6-hydroxyméthyl-1-oxo-cyclohexan-2,3,4,5,6-hexol (sans parler de la stéréochimie), je ne suis pas sur que l'on gagne réellement au change, mais c'est accessoire puisqu'il y a toujours la ressource du fameux « composé A ». « clupf> Prenons par exemple « Le chlore est un gaz vert. C'est « clupf> pourquoi il absorbe dans le visible. » Si l'on veut un appel de note « clupf> pour donner une référence qui justifie la première phrase, quel est le « clupf> mot judicieux ? Et quelle raison pour mettre la phrase en évidence, « clupf> d'autant plus que ce n'est pas une citation ? « « la référence va porter sur quoi, si ça n'est pas une citation ? Sur le fait que ce que l'on affirme n'est pas le pur fruit de notre imagination, mais a bien fait l'objet d'observations préalables diverses et variées. C'est du moins comme ça que je comprends cette nécessité de références dans les articles scientifiques. « Si on « veut une référence sur la propriété d'absorption, mettre l'appel à « visible marche tout à fait ! Effectivement, en y repensant, ce n'est pas plus mal là qu'ailleurs. Mais ça pourrait tout aussi bien être sur « absorbe ». En fait, je crois bien que l'origine de cette distinction potentielle n'était qu'une tentative personelle d'adaptation de l'usage anglo-saxon, non repéré comme tel, à un cas où, personnellement, je ne mettrais pas forcément un appel de note (ou en tout cas, pas sans modifier la phrase) si je pouvais faire ce que je voulais... « Si c'est une phrase citée, on aura quelque « chose comme : Selon E. C. Uris¹, « le chlore ... », non ? Si, pas de problème là non plus. « clupf> Bien sûr, on pourrait ajouter « (voir par exemple ...) », mais « clupf> les contraintes de longueur étant ce qu'elles sont, ce n'est pas « clupf> toujours faisable. Quand à l'idée de ne pas mettre d'appel et de faire « clupf> une bibligraphie finale, pour l'avoir essayée, ça passe très mal « clupf> auprès des relecteurs qui doivent donner leur avis sur l'acceptation « clupf> de l'article ou du mémoire... « « euh, pas sûr de comprendre ce que tu dis ! Les revues scientifiques « raffolent de biblios, c'est même un signe de « distinction » « académique... À condition que ces références soient appelées dans le texte, sinon apparemment ça ne passe pas. -- Emmanuel CURIS curis@xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx Page WWW: http://emmanuel.curis.online.fr/index.html
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