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Message : Re: appels de notes (curis) - Dimanche 17 Février 2002 |
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Subject: | Re: appels de notes |
Date: | Sun, 17 Feb 2002 18:55:31 +0100 |
From: | curis@xxxxxxxxxxxxxx |
Dans son courrier, Thierry Bouche a écrit : « j'ai vu suggérer sur une liste (que ne lit-on sur les listes...) une « subtile distinction, similaire à celle que tu évoques pour les « citations : si l'appel est avant le point, ce serait une note concernant « le dernier mot de la phrase, s'il vient après, elle concernerait la « phrase entière. Ça me semble totalement inintelligible et « contre-productif. Si l'on veut rendre ce genre de chose intelligible, il « vaut beaucoup mieux présenter la phrase comme un tout (soit en la « soulignant entièrement et en plaçant l'appel de notes au dernier mot, « soit en la précédant de quelque chose comme « la phrase suivante¹ : »). « Je me suis convaincu un jour du fait que les appels de notes mal placés (dans des « formules, sur des parenthèses...) venaient toujours d'un texte bancal et « de toute façon difficile à comprendre. Je n'ai jamais vu de « contre-exemple à ce principe... « mouais, je reste persuadé que, dans le souci du lecteur, un texte « explicitant ce qu'il fait, et un appel de note placé sur le mot « judicieux rendent de bien meilleurs services. Encore faut-il savoir quel est ce mot judicieux... Dans les exemples auxquels je pensai en posant la question de la distinction entre les deux positions de l'appel de note, ça ne me paraît pas facile. Prenons par exemple « Le chlore est un gaz vert. C'est pourquoi il absorbe dans le visible. » Si l'on veut un appel de note pour donner une référence qui justifie la première phrase, quel est le mot judicieux ? Et quelle raison pour mettre la phrase en évidence, d'autant plus que ce n'est pas une citation ? Bien sûr, on pourrait ajouter « (voir par exemple ...) », mais les contraintes de longueur étant ce qu'elles sont, ce n'est pas toujours faisable. Quand à l'idée de ne pas mettre d'appel et de faire une bibligraphie finale, pour l'avoir essayée, ça passe très mal auprès des relecteurs qui doivent donner leur avis sur l'acceptation de l'article ou du mémoire... D'un autre côté, comme ce cas et cette absence de liberté se trouve peut-être surtout pour les articles scientifiques, qui sont très souvent en anglais, cette idée d'une position différente de l'appel quand il concerne un objet vague (et donc qu'il pourrait être, peut-être, avantageusement remplacé par quelque chose de plus adapté) est peut-être bien une contamination de l'usage anglosaxon, pour ces cas où l'appel de note n'a pas un objet précis... -- Emmanuel CURIS curis@xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx Page WWW: http://emmanuel.curis.online.fr/index.html
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