Re: Seconde partie : Ligatures

[Alain Hurtig <alain.hurtig@xxxxxxxxxxx>]

At 20:10 +0100 12/02/00, Michel Bovani wrote:
>Ça marche pas ou plus :-(
>
Ça marche à nouveau (mille excuses...)

>Ça doit être assez dur à faire fonctionner, non ? (sauf pour une
>police à chasse fixe :)
>
Non. Pourquoi ? (Je n'ai pas le temps de concocter un exemple...)

>mais dans le cas
>de {ct}, {st}, {sp}, je serais moins affirmatif.
>
Ça dépend du contexte, et sans doute de la police employée.Ce serait
intéressant de voir tes énoncés de devoir, et de comprendre pourquoi
peronne ne l'a remarqué (mais au fait, si personne ne le remarque, à quoi
ça sert ? ;-))

>En fait, pour moi, mais c'est sans doute lié au
>logiciel que j'utilise, cette classification est la plus
>opérationnelle, sinon la meilleure :
>- ligatures dont on fait un emploi systématique ;
>- ligatures dont on fait un emploi occasionnel.
>
Non, je crois que c'est la seule méthode possible, et que ça ne dépend pas
du logiciel, mais des choix esthétiques et du contexte.

>Ah ! oui ! il ya aussi un {oe} et un {ae} qui diffèrent des ligatures
>{oe} et {ae} habituelles, dont je suppose qu'ils sont fait pour
>des mots comme "c{oe}fficient" et pas pour des mots comme {oe}il ??
>
J'ai pensé la même chose. Et mon problème demeure : quelles sont les
ligatures manquantes (dans cet exemple précis), et peut-on (doit-on ?)
déterminer une règle de ligaturage esthétique ?

Reste la liste des ligatures techniques potentielles ! Quelqu'un a une idée ?

>Au fait, on retrouve pas mal de ligs de Mrs Eaves dans Le monde livre
>Classic, qui à pas mal d'égards rappelle Baskerville
>
Arghhhh ! Un dimanche matin, un amoureux du baskerville (moi) lit un truc
pareil ! J'ai failli faire un infarctus :-)))))).

Alain Hurtig                                    mailto:alain.hurtig@xxxxxxxxxxx
-----------------------------------------------------------------------------
Recherchons les enfants, les parents des enfants, les enfants des enfants,
les cloches du printemps, les sources de l'été, les regrets de l'automne,
le silence de l'hiver.
   Philippe Soupault, _Un deux ou trois_.