Re: hauteur exposant (abréviations)

[Eddie Saudrais <eddie.saudrais@xxxxxxxxxx>]

Alain Hurtig a écrit :

> Pour le ^o, par exemple, pourquoi le placer à la même hauteur s'il
> suit un n (pour numéro) ou un f (pour folio) ? L'exposant ^e après un
> siècle (XIX^e) sera placé bien trop haut si on le met au même endroit
> que l'exposant d'une formule mathématique (un défaut couramment
> rencontré). Même problème pour les appels de notes.
> Ça dépend de la police aussi, évidemment... Bref, je ne pense pas
> qu'il y ait de règles : il y a l'oeil du typo, et éventuellement le
> logiciel qui gère ou ne gère pas différentes sortes d'exposants.

Utilisateur de L...X, je n'étais pas satisfait de la gestion automatique
des exposants abréviatifs (que ce soit à coup de \textsuperscript, \fup
et autres \numero). Visiblement, la réalité est plus subtil, et il
faudrait modifier le positionnement des exposants manuellement en
fonction de la police et du corps. 
Tout vient d'un « nº » en Avant-Garde en corps 25 pour un titre de T.D.,
pour lequel j'ai du mal à trouver les bonnes proportions et la bonne
position?

P.S. 1 : [gtts] Pour les chimistes, les grandeurs thermodynamiques
standard sont notées avec un exposant 0 (et G^0 se lit « gé zéro »).
C'est bien un zéro et pas un degré, hein ? Parce que je le lis souvent
avec une degré, et c'est pas du tout la même chose visuellement.

P.S. 2 : Merci à tous pour toutes vos réponses intéressantes.

Amitiés

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